4 mai 2008
Quand un clou chasse l’autre, ça cogne dur.
Il y a des jours où l’on voudrait clouer le bec à tous les connards de la terre, leur river le clou à perpette.
Il y a des semaines où on se met martel en tête, à en devenir complètement marteau.
Il y a des mois où on se mettrait soi-même au clou pour ne pas tomber dans la dèche.
Mais une bonne façon de faire passer sa colère, c’est de jouer du marteau.
Après avoir imposé mes états d’âme à tout un chacun, après être montée aux barricades sans même un trait d’humour, je vous présente celui qui a subi les affres de ma colère et de mes sautes d’humeur, celui sur qui j’ai frappé pour éloigner de moi l’irritabilité.
Après tout, un clou chasse l’autre.
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