Fusillez-moi si je triche.
On a profité de mon absence pour me « taguer ». Quel toupet! Vous vous rendez compte? Je pars dix jours, à l’abri de toute civilisation, je coupe les moteurs, j’en avertis le lecteur et, vlan! Qu’est-ce que je lis à mon retour? « Te voilà taguée chez moi … si le cœur t’en dit, évidemment ».
Bien entendu que le cœur m’en dit. Merci Corinne. J’aime qu’on me lance des défis. Et puis j’adore jouer.
Alors, je passe en quatrième vitesse, je range les skis et les raquettes, je remets la machine en marche, je réponds aux commentaires, je lis quelques blogues, j’y dépose quelques mots et hop! j’attaque le jeu de la tague.
Ils sont déjà plusieurs à s’être passé le mot, tous des pros de la photo, des artistes qui manient le « kodak » assez habilement. J’ai suivi quelques liens comme ça, juste pour voir (Mima, Promenades, Too banal et quelques autres). Et bien j’aime autant vous dire que la barre est haute. Même que je me sens un peu intimidée.
Le jeu se lit comme suit : Un règle par 6 et 6 simple: il suffit de parcourir son dossier “photos” le plus récent ou le 6ème le plus récent ou le 6ème le moins vieux, choisir la 6ème photo dans ce même dossier sans tricher, la publier sur son blog et taguer 6 malheureux blogueurs
Je trébuche déjà sur l’énoncé du problème. Non, mais vous pensez que mes photos sont classées comme ça par dossier, par date tout proprement dans la machine? Non. Les 400 photos les plus récentes sont placées anarchiquement dans le dossier « photos à classer ».
Alors, je crois que la sixième plus récente en reculant de 6 saisons, serait probablement … hum! Je dirais assurément celle-ci : (corde_6)
Je sais, vous dites c’est impossible, c’est l’été. Mais c’est la sixième du dossier.
OK, j’avoue, je n’ai pas pu résister, il fallait que je vous présente le petit chevreuil que j’ai adopté.
P.-S. : Je ne « taguerai » pas les quelques personnes qui commentent mes billets (Jo, Zygomo, Omo-Erectus, Zed, Blogue l’Éponge et Celle qui passe) et qui me font l’immense plaisir de laisser un petit mot comme ça en passant. Leurs commentaires sont une stimulation pour continuer à écrire.
Ouf! Vous l’avez échappé belle, les amis.